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Письмо Полине Виардо - Письма (1831-1849) - Мемуары и переписка- Тургенев Иван Сергеевич



11, 12 (23, 24) июля 1849. Куртавнель

Courtavenel.

Lundi, 23 juillet 49.

Bonjour, Madame - Guten Morgen, liebstes, theuerstes, bestes Wesen! Gott segne Sie tausend Mal. Je suis alle hier a la grande fete de Pecy. Savez-vous que c'est un tres agreable village que Pecy, malgre son affreuse mare verte pres de l'eglise? C'etait pour la premiere fois que j'assistais a une fete de village en France; j'avoue qu'elles sont loin d'etre aussi jolies et aussi pittoresques qu'en Allemagne. La on entend presque toujours de la musique passable; les Allemands jouent rarement faux; tandis que les quatre gaillards avines (1 trompette, 1 clarinette - oh! l'affreuse clarinette! et deux violons) qui composaient l'orchestre d'hier vous ecorchaient les oreilles de maniere a vous faire venir de grosses larmes froides aux yeux, comme si l'on vous sciait une dent. En Allemagne on a la valse, le galop, tandis qu'ici (il parait que ce n'est pas partout de meme) on se tremousse lourdement et gauchement avec des mouvements d'epaules et de genoux parfaitement niais ou bien l'on tache d'imiter le cancan. En Allemagne les paysans ont presque partout conserve le costume national: ici, on ne voil que des redingotes - et quelles redingotes! Quelles tailles montant jusqu'aux cous et quels collets surplombant la tete! Quels chapeaux! quels gilets et surtout quels faux-cols! Les robes des femmes (les femmes aussi ont des robes comme a la ville) ont un air tout a fait morne: vieux et neuf en meme temps; neuf, car on ne les met qu'une fois l'an, vieux, car il y a longtemps qu'elles sont faites - et puis rester des annees enfermees dans un gros coffre - cela ne rajeunit pas. J'ai remarque hier deux demoiselles un peu moins halees et beaucoup plus effrontees que les autres qui s'etaient habillees en grisettes - mais ce costume leur allait encore plus mal. Les hommes etaient tous vetus en bourgeois; et cependant on distinguait facilement les vrais bourgeois a leur air dedaigneux et condescendant, a leur bonhomie affectee et reveche. Cependant, tous ces gens si mal fagotes dansaient de si bon coeur, il y avait tant de gaite sur les visages, la soiree etait si belle, les enfants si emerveilles et si heureux que ma foi! j'ai fini par trouver tout charmant. Et puis, il y avait tant de types a etudier: les bons veux tout casses, auxquels on disait en riant: "Eh bien, vous viola, pere un tel", et qui ne repondaient que par un clignotement d'yeux et un sourire beat, les importants de village avec des voix de gorge, des petits ventres, de gros sourcils et la main sur le menton, les tapageurs, les niais, les loustics, les grandes filles avec leur air sereiux et contraint, mome pendant la danse, tout en ruisselant de sueur, les garcons de ferme ahuris, les messieurs qui avaient ete a Paris, vu qu'ils se permettaient de pincer le cancan, qu'ils avaient le visage desagreablement pale et les cheveux coiffes, etc., etc. Trente figures au moins se sont casees dans ma tete - une petite fille entr'autres de 5 a 6 ans - une veritable petite Mignon en herbe, bien plus Mignon que celle de Scheffer1, avec un regard melancolique et brusque; un marchand forain (il avait une espece de boite avec un Abd-el-Kader dedans - on tirait dessus - et quand on frappait au coeur, on entendait une detonation et Abd-el-Rader s'agenouillait) - cet homme avait bien l'air d'un don Juan ruine,use et avili par le besoin, il traitait ses pratiques avec un supreme dedain; toute sa figure etait abrutie, mais il avait des yeux magnifiques, des cheveux superbes, et quand il se prenait a sourire, son visage devenait seduisant. Il y a de pareils visages, c'est comme une lueur qui les illumine tout a coup; ils changent d'expression d'une maniere etonnante - ce n'est jamais un bon signe - je veux dire ce passage si brusque, surtout quand il se repele frequemment et de la meme maniere. Enfin, je rentrai a Courtavenel vers les 9 h. et demie, fort content de ma journee. J'etais deja dans l'avenue en face du chateau qu'on entendait encore le Drinn-drinn de l'infernal orchestre. La soiree etait extremement calme et douce, l'air semblait avoir pris un bain de lait (Sacregorgon, quelle image hardie!) et les sons s'en allaient a travers champs, comme s'ils ne devaient jamais finir. J'allais ouvrir la grille, quand je vis un etre vivant s'approcher de moi; c'etait la petite Manon qu'on avait laissee paitre en liberte; elle se laissa caresser et nous rentrames ensemble.

Wie oft ich den ganzen Tag an Sie gedacht habe, kann ich Ihnen nicht sagen; als ich zuriickging, rief ich Ihren Namen so entziickt, ich streckte die Arme mit so viel Sehnsucht nach Ihnen aus! Sie haben es gewisshoren und sehen miissen.

Voila 6 jours que je suis tout seul a Courtavenel, eh bien! je vous assure que je ne m'ennuie pas; je travaille beaucoup, je me promene, je pense a mille choses - la vie est une chose bien plus simple qu'on ne se la fait. Mais cela m'ennuie apres tout de ne pas recevoir de lettres (et pas d'argent) de Russie2.

2 heures.

Le facteur vient de m'apporter votre lettre. C'est donc pour mardi, pour demain... Je crains que vous ne vous soyez un peu trop fatiguee... Enfin! quand cette lettre vous parviendra, tout sera deja decide - je persiste a croire que le triomphe sera eclatant3. Vous n'oublierez pas de m'envoyer les journaux? Je vous en prie. Que c'est bete - je sais bien que c'est inutile maintenant et cependant, je ne puis m'em-pscher de vous crier: ne vous fatiguez pas trop aux repetitions] Je sens deja le commencement de l'agitation qui s'en ira crescendo jusqu'a demain minuit - car je ne me coucherai pas avant. Morgen um Mitternacht wird Ihr Bild im Saal (das leider nicht ahnlich ist) einen Strauss bekommen. Vous dites donc que les choeurs sont bons et que Mario... Mais c'est stupide, puisque la lettre arrivera deux jours apres la 1-re representation, animal! Mais rien ne m'empeche de vous dire que je forme a l'heure qu'il est des voeux et des souhaits pour vous d'une force prodigieuse, a deraciner des chenes... Liebe, theuere! Gott sei mit Dir und segne Dich. Donnez-moi, je vous en conjure, tous les details imaginables sur cette 1-re representation (merci pour les reverences). C'est bete qu'on ne puisse rien faire comprendre a une maison: sans cela j'aurais communique la nouvelle a Courtavenel. Il aurait du faire exception, lui (je parle de Courtavenel). Enfin, je l'ai dit a Jean, a Veronique et aux petits singes.

Si Ledru-Rollin vient vous voir, dites-moi donc quelle impression il vous fera. Certes, ce n'est pas un aigle, cependant, je crois qu'il est bon et vraiment devoue au peuple4. Et Louis Blanc, est-il abattu? J'avoue que je ne l'aime pas beaucoup. Je n'ai pas encore lu son nouveau journal5.

Ainsi donc, voila le pape restaure6... Mais ne parlons pas politique. Il ne reste plus qu'a s'envelopper la tete et {Далее одно слово зачеркнуто.} ou bien la detourner tout a fait.

Triumph! Es siegt das Schlechte, Und vor dem Bausch der Knechte Schweigt die Begeisterung7.

A propos, envoyez-moi aussi, s'il vous plait, le livret-affiche du "Prophete" - vous savez, cette espece de feuille de papier qu'on trouve toute pliee sur les stalles du theatre.

A demain. Et que le ciel vous benisse mille fois! Was fehlt V<iardot>? Ist ihm vielleicht unangenehm, dass ich hier wohne?

Mardi.

Il fait aujourd'hui un bien vilain temps. La pluie tombe fine, serree, froidement obstinee comme une vieille fille. Le barometre baisse... enfin, patienbe. C'est donc aujourd'hui - dans 9 heures (il est 11 h. maintenant). Vous etes deja levee - vous avez fini de dejeuner - vous etes tranquille... etes-vous tranquille? Oui, soyons tranquilles. Cette pluie nie derange; je comptais passer la plus grande partie de la journee dehors. Avec quelle impatience je vais attendre le facteur vendredi! Car on ne pourra rien savoir ici avant vendredi. Ces jours derniers, j'ai parcouru "Consuelo". II y a une foule de choses charmantes, mais Mr Albert est insupportable, ainsi que toute la fantasmagorie malsaine qui l'entoure8. Mme Sand gate souvent ses plus adorables figures de femme en les faisant devenir bavardes, raisonnables et pedantes, la petite Fariotte cntr'autres9. Et cependant, a moins de devenir parfaitement insensible ou d'etre ne parfaitement insouciant, le mysticisme, la foi immense et vague, est encore peut-etre le seul refuge qui reste aux hommes (quand le temps de l'action est passe ou n'est pas encore venu) - maintenant que les droits les plus sacres sont foules aux pieds, que le sang coule par torrents, que l'iniquite, la force brutale ou l'hypocrisie triomphent...

Il parait que Gorgey est mort10. Vous n'avez rien entendu sur le compte de Bakounine11?

Decidement, Ich bin zu aufgeregt, um Ihnen weiter zu schreiben. Je vais faire des voeux pour vous. Que Dieu vous benisse! Recevez la poignee de main la plus cordiale qu'on puisse donner... Mille amities a Viardot, a Manuel, a tutti quanti.

Ce soir, je vais beaucoup penser a vous. Adieu.

Votre J. T.

Полине Виардо С французского:

Куртавнель.

Понедельник, 23 июля 49.

Добрый день, милостивая государыня - Guten Morgen, liebstes, theuorstes, bestes Wesen! Gott segne Sie tausend Mal {Доброе утро, самое милое, дорогое, лучшее существо! Тысячу раз да благословит вас бог (нем.).}. Вчера я был на большом празднике в Неси. Это, знаете ли, премилая деревушка, несмотря на ужасающую зеленую лужу возле церкви. Я впервые увидел французский сельский праздник; признаться, это далеко не так красиво и живописно, как в Германии. Там почти всегда можно услышать сносную музыку; немцы почти никогда но фальшивят; а те четыре упившихся молодца (одна труба, один кларнет, о, этот ужасный кларнет! и две скрипки), которые составляли вчера оркестр, так резали ухо, что у вас на глазах выступали крупные холодные слезы, словно вам перепиливали зуб. В Германии танцуют вальс, галоп; а здесь (кажется, это не везде так) тяжело и неуклюже прыгают, нелепо двигая плечами и коленями, или же пытаются подражать канкану. В Германии крестьяне почти всюду еще сохранили национальный костюм, а здесь видишь только сюртуки - да какие! Что за талии до самой шеи! Что за воротники выше головы! Что за шляпы! Что за жилеты и особенно что за пристежные воротнички! Женские платья (женщины тоже одеваются по-городскому) выглядят очень уныло и производят впечатление одновременно старых и новых, новых, потому что их надевают только раз в год; старых, потому что сшиты они давным-давно, да к тому же быть запертым многие годы в большом сундуке - от этого не помолодеешь! Я заметил вчера двух девиц, несколько менее загорелых н гораздо более развязных, чем другие; они нарядились гризетками, но этот костюм был им еще больше не к лицу. Все мужчины были одеты, как горожане, и всё же среди них легко можно было отличить настоящих горожан по брезгливому и снисходительному виду, по деланному добродушию, от которого веяло холодом. Однако эти столь скверно одетые люди танцевали с таким увлечением, лица их были столь оживлены, вечер был так хорош, а дети так восторгались и радовались, что в общем мне всё это показалось прелестным. А кроме того, сколько там было типов, достойных изучения: милые, совсем уже дряхлые старички, которым говорили со смехом: "Ах это вы, папаша такой-то!", а они отвечали только морганьем и блаженной улыбкой; местные тузы - гортанный голос, небольшое брюшко, густые брови и рука на подбородке; буяны, дурачки, шутники, взрослые девушки с серьезным и принужденным видом, даже когда они танцуют, обливаясь потом; растерянно глазеющие батраки; господа, которые побывали в Париже: это было видно и по тому, что они позволяли себе поканканировать, и по неприятной бледности их лиц, по прическе и т. д., и т. д. Не менее тридцати фигур запечатлелось у меня в голове, между прочим одна девочка лет пяти-шести, настоящая маленькая Миньона с печальным и быстрым взглядом, гораздо более Миньона, чем у Шефера1; ярмарочный торговец (у него было что-то вроде ящика с Абд-эль-Кадером внутри; в ящик стреляли, и, когда попадали Абд-эль-Кадеру в сердце, слышался взрыв и он опускался на колени) - этот человек был похож на Дон-Жуана, но разоренного, потрепанного и униженного нищетой; со своей публикой он обращался в высшей степени презрительно; черты его огрубели, но глаза были прекрасны, волосы великолепны, и, когда он начинал улыбаться, лицо его делалось привлекательным. Бывают такие лица, их словно внезапно освещает какое-то сияние; выражение их меняется удивительным образом, ничего хорошего это не означает - эта внезапная перемена, особенно когда она повторяется часто и одним и тем же образом.

В результате вернулся я в Куртавнель около половины десятого, очень довольный тем, как провел день. Я уже был в аллее напротив дома, а до меня еще доносились трам-там-там этого адского оркестра. Вечер был необыкновенно тих и мягок, воздух словно принял молочную ванну (что за смелый образ!), и звуки неслись над полями, как будто им никогда не суждено было замолкнуть. Я хотел уже открыть калитку, как вдруг заметил, что ко мне приближается какое-то живое существо; это была маленькая Манон, которую пустили пастись на свободе. Она позволила мне приласкать себя, и мы вместе вернулись домой.

Wie oft ich den ganzen tag an Sie gedacht habe, kann ich Ihnen nicht sagen; als ich zuriickging, rief ich Ihren Namenso entziickt, ich streckte die Arme mit so viel Selmsucht nach Ihnen ans! Sie haben es gewiss horen und sefaen mussen {Не могу сказать, как часто в течение дня я о вас думал; возвращаясь, я так восторженно выкрикнул ваше имя, с такой тоской протянул к вам руки! Вы, конечно, должны были слышать и видеть это (нем.).}.

Вот уже шесть дней, как я один в Куртавнеле; и что же, признаюсь вам, я не скучаю; много работаю, гуляю, думаю о тысяче разных вещей; жизнь гораздо проще, чем ее устраивают себе люди. Досаждает мне лишь то, что я не получаю писем (и денег) из России2.

Два часа.

Почтальон только что принес мне ваше письмо. Итак, это будет во вторник, завтра... Я боюсь, что вы чересчур утомлены... Впрочем, когда вы получите это письмо, всё ведь решится - твердо верю, что успех будет блестящий3. Ведь вы не забудете прислать мне газеты? Прошу вас. Как глупо,-- я же знаю, что теперь это бесполезно, и всё же не могу удержаться, чтобы не крикнуть вам: не переутомляйтесь на репетициях! Я чувствую уже, что начинаю волноваться, и это будет завтра идти всё crescendo {возрастая (итал.).} до полуночи, потому что раньше не лягу. Morgen uni Mitternacht wirdlhr Bild im Saal (das leider nicht ahnlich ist) einen Strauss bekommen {Завтра в полночь вашему портрету в зале (который, к сожалению, непохож) будет поднесен букет (нем.).}. Вы говорите, что хор недурен и что Марио... Но это нелепо, ведь письмо мое придет через два дня после первого представления; ну и дурак vue я! Но ничто не мешает мне сказать вам, что сейчас я молюсь за вас и шлю вам самые лучшие пожелания, и сила их столь огромна, что может вырывать с корнем дубы. Liebe, theuere! Gott sei mit Dir und segne Dich {Милая, дорогая! Бог да будет с тобою и да благословит тебя! (нем.).}. Умоляю вас, лишите мне это первое представление до мельчайших, подробностей (благодарю за реверансы). Как глупо, что стены ничего не могут понять, а то я сообщил бы эту новость всему Куртавнелю. Он должен был бы являться исключением (я говорю о Куртавнеле). Во всяком случае, я поведал се Жану, Веронике и обезьянкам.

Если вас навестит Ледрю-Роллен, напишите мне, какое он на вас произвел впечатление. Он, конечно, не орел, но, думаю, действительно добрый и преданный народу человек4. А Луи Блан,-- что он, подавлен? Должен сознаться, я его недолюбливаю. Я еще не читал его новой газеты5.

Итак, вот папа и восстановлен6... Но не будем говорить о политике. Остается только укрыться с головой или... совсем отвернуться.

Triumph! Es liegt das Schlechte, Und vor dem Rausch der Knechte Schweigt die Begeisterung {*} 7.

{* Триумф! Зло повержено, И вдохновение молчит, Когда ликуют рабы (нем.).} Кстати, пришлите мне еще, пожалуйста, афишу-либретто "Пророка", знаете, такой в несколько раз сложенный листок бумаги, который находят на креслах в театре.

До завтра. И тысячу раз да благословит вас небо. Was fehll V(.iardot}? Ist ihm vielleiehl unangenehm, dass ich hier wokne? {Что с В<иардо>? Быть может, ему неприятно, что я здесь живу? (нем.).} Вторник.

Сегодня прескверная погода. Мелкий, частый дождь льет с холодным упрямством старой девы. Барометр падает... по, терпение. Итак, это - сегодня, через девять часов (теперь одиннадцать). Вы уже встали, позавтракали, вы спокойны. Спокойны ли вы? Да, будем спокойны. Этот дождь мешает мне; я рассчитывал провести большую часть дня вне дома. С каким нетерпением я буду ждать почтальона в пятницу! Потому что до пятницы здесь ничего нельзя будет узнать. На этих днях я просмотрел "Консуэло". Очень много прелестных мест, но г-н Альбер несносен так же, как вся нездоровая фантасмагория, которая его окружает8. Г-жа Санд часто портит самых обаятельных своих героинь, делая их болтливыми, рассудительными и педантичными, в том числе и маленькую Фадетту9. Между тем в наше время, когда попирают ногами самые священные права, когда кровь льется потоками, когда несправедливость, грубая сила или лицемерие торжествуют, для людей, не окончательно еще утративших способность чувствовать или не совершенно беспечных от природы, единственным, быть может, прибежищем (если для деятельности время прошло или еще не наступило) остается мистицизм, безмерная и беспредельная вера...

Кажется, Гёргей умер10. Не слышали ли вы чего-нибудь насчет Бакунина11?

Положительно, ich bin zu auigeregt, um Ihnen weiter zu schreiben {я слишком взволнован, чтобы продолжать писать вам (нем.).}. Я буду молиться за вас. Благослови вас господь. Жму вам, руку так сердечно, как только можно... Тысяча приветов Виардо, Мануэлю и tutti quanti {всем остальным (итал.).}.

Сегодня вечером я буду много думать о вас. Прощайте.

Ваш И. Т.

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